Sur PC le jeu vous offre une belle qualité de résolution, la guerre prend un coup de réalisme grâce au moteur Frostbite 2 qui a rendu Battlefield 3, tout simplement sublime. Les choses sont très différentes sur console, en effet si le joueur souhaite jouer dans des conditions graphiques optimales se rapprochant du PC, il lui faudra sacrifier 2Go d’espace disque pour installer le pack de textures HD.
Le jeu affiche des éclairages dynamiques de toute sobriété, des reflets et des effets d’explosions plus convaincantes. En revanche il à peine à modéliser des personnages assujettis, mais le manque réside dans le décor très figé de l’environnement qui présente des aspects crédible sous des impacts de balles ou des grenades jetées.
Le niveau de la bande sonore a été façonné pour supporter Linkin Park ou tout simplement des compositions ni mauvaises, ni bonnes mais qui tient parfaitement le contexte du titre.
Dans l’ensemble tout reste crédible malgré le bruitage et le couplage des graphismes.
Textures moches, baveuses et couleurs ternes viennent franchement ternir une expérience de jeu déjà pas folichonne.
Les missions sont toutes inspirées par des faits réels et l’histoire des héros est contée à l’aide de multiples flashbacks qui montrent à quel point le dévouement et le patriotisme justifie les actions armées. La fin du jeu est parfaitement bouclée par ce cercle vicieux connus sous le nom ‘happy ending’. on rappelle à tous que, pour être un vrai héros, il faut être prêt à regarder la mort en face.
Le jeu affiche des éclairages dynamiques de toute sobriété, des reflets et des effets d’explosions plus convaincantes. En revanche il à peine à modéliser des personnages assujettis, mais le manque réside dans le décor très figé de l’environnement qui présente des aspects crédible sous des impacts de balles ou des grenades jetées.
Le niveau de la bande sonore a été façonné pour supporter Linkin Park ou tout simplement des compositions ni mauvaises, ni bonnes mais qui tient parfaitement le contexte du titre.
Dans l’ensemble tout reste crédible malgré le bruitage et le couplage des graphismes.
Textures moches, baveuses et couleurs ternes viennent franchement ternir une expérience de jeu déjà pas folichonne.
Les missions sont toutes inspirées par des faits réels et l’histoire des héros est contée à l’aide de multiples flashbacks qui montrent à quel point le dévouement et le patriotisme justifie les actions armées. La fin du jeu est parfaitement bouclée par ce cercle vicieux connus sous le nom ‘happy ending’. on rappelle à tous que, pour être un vrai héros, il faut être prêt à regarder la mort en face.